Brussels Airport confirme son ambition de ne plus émettre de CO2 en 2050 au plus tard
February 09, 2022
Brussels Airport et plus de 200 autres aéroports de toute l’Europe ont signé la Déclaration de Toulouse, un accord historique qui marque une nouvelle étape dans le voyage de l’Europe vers la décarbonisation de l’aviation à l’horizon 2050. C’est la première fois que les gouvernements européens, la Commission européenne, l’industrie, les syndicats et d’autres acteurs clés s’accordent officiellement dans l’optique d’une aviation sans carbone.
Lancée le 4 février 2022, durant la présidence française de l’UE, la « Déclaration de Toulouse » est la toute première initiative publique-privée en faveur de la réalisation de l’objectif européen d’une aviation zéro émission d’ici 2050. Il s’agit également de la première initiative conjointe de ce type dans le monde qui parvient à mettre d’accord toutes les parties prenantes de l’Union européenne quant aux principes et aux actions nécessaires pour décarboniser et transformer le secteur européen de l’aviation. Une véritable avancée !
« Brussels Airport s’engage depuis plus d’une décennie à réduire considérablement ses émissions de CO2. Nous sommes déjà neutres en carbone depuis 2018 selon le programme Airport Carbon Accreditation d’ACI Europe, et nous mettons tout en œuvre pour réduire encore nos émissions. Il est essentiel que tous les acteurs unissent leurs forces au profit de l’écologisation de l’aviation, et nous sommes déterminés à jouer notre rôle dans ce domaine », a déclaré Arnaud Feist, CEO de Brussels Airport Company.
Brussels Airport entend atteindre son objectif en misant davantage sur l’efficacité énergétique et les infrastructures durables, ce qui implique des sources d’énergie renouvelables, la poursuite de l’électrification de sa flotte de voitures de société et d’équipements de manutention au sol, l’amélioration de la répartition modale et de l’utilisation des transports publics ainsi que des initiatives en matière de gestion et de réduction des déchets. Sans oublier les projets sur le roulage électrique et les biocarburants pour les avions.